Les journées chargées sont le lot quotidien des praticiens. Ainsi, ils ont tout intérêt à choisir un logiciel médical qui les aide à retrouver un maximum de temps et leur permettent de ne pas se disperser. Comment différencier les solutions disponibles ? Voici des éléments de réponse pour vous aider à y voir plus clair.
Le choix du logiciel médical
Comment déterminer l’outil le plus adapté à son activité ? Il vous faut vous attarder principalement sur l’ergonomie et les fonctionnalités offertes.
La prise en main du logiciel médical
En premier lieu, il est primordial de s’orienter vers une solution adaptée à son mode d’exercice. Cela tombe bien, les éditeurs fournissent des logiciels dédiés aux activités individuelles, mais aussi des outils qui répondent aux exigences de l’exercice pluridisciplinaire en Maison de Santé Pluridisciplinaire (MSP). Ensuite, il doit pouvoir être installé sur les ordinateurs de votre cabinet, donc compatible avec votre système d’exploitation. Vous avez l’occasion de choisir un tel logiciel médical sur des sites comme https://www.cegedim-logiciels.com.
Tout aussi important, le logiciel santé est caractérisé par son ergonomie. Il vise à faciliter votre gestion et doit vous faire gagner du temps. En outre, le logiciel en gestion de cabinet médical ou MSP s’utilise aussi facilement en déplacement, il fonctionne parfaitement sur les appareils mobiles.
Les fonctionnalités de l’outil
Tout d’abord, le logiciel médical intègre forcément la gestion des dossiers patients : histoire médicale, traitement en cours, etc. Il dispose d’une messagerie sécurisée qui garantit la communication et le partage d’information avec d’autres professionnels de santé. Le logiciel médical bénéficie d’un module d’aide à la prescription. Il vous autorise le suivi des critères de performance pour la ROSP (Rémunération sur Objectifs de Santé Publique) et inclut la télétransmission des feuilles de soin électroniques, tout comme les téléservices de l’Assurance Maladie. Parmi les autres fonctionnalités dont il est doté, on compte la facturation, la comptabilité, la classification commune des actes médicaux et la possibilité de répertorier des résultats complémentaires.
L’importance d’un logiciel certifié
Ces dernières décennies, les progrès technologiques ont permis d’améliorer considérablement les équipements médicaux à disposition des médecins. Mais qu’en est-il des logiciels métiers destinés à les accompagner dans leur exercice ?
L’intérêt
Leur nombre a augmenté et ils se sont enrichis de nombreuses fonctionnalités. La Haute Autorité de Santé (HAS) rappelle sur son site internet leur rôle. Ces outils permettent d’exploiter les données cliniques, des ressources qui favorisent le suivi d’un malade et améliorent sa prise en charge. Le logiciel médical facilite la communication et contribue à une bonne coordination des soins. Par ailleurs, il donne accès au médecin en cours de consultation à des éléments de bonne pratique selon le profil du patient.
Un outil qui équipe la majorité des praticiens
La HAS établit les procédures de certification des logiciels, il s’agit de la certification des logiciels d’aide à la prescription (LAP) et à la dispensation (LAD). De même elle délivre un agrément aux bases de données sur les médicaments. En tant que dispositifs médicaux, ils doivent nécessairement faire l’objet d’un marquage CE. La certification HAS reste quant à elle facultative. Un peu plus d’un établissement de santé sur deux recourt aujourd’hui à un logiciel certifié HAS.